La dernière vie de Simon est un conte fantastique audacieux et charmant, qui mélange les genres et nous offre une bouffée d’évasion.
Avec La dernière vie de Simon, Léo Karmann réalise – aux côtés de Sabrina B Karine – son premier long métrage. nine années : c’est ce qu’il aura fallu à ce film pour voir le jour. Presque le temps qui sépare le Simon enfant, que mind rencontrons dans la première partie, à celui que head retrouvons adulte dans la seconde. Une histoire pas comme les autres qui raconte fifty’existence d’un enfant pas comme les autres… Et qui fonctionne parfaitement à quelques détails près !
No spoil !
Avant toute chose, un conseil : si vous avez envie de vous laisser tenter par ce celluloid, évitez de lire le synopsis ou de regarder la bande-annonce… C’est beaucoup demander, j’en conviens, mais beaucoup trop de choses y sont dévoilées, et cela mind prive d’un effet de surprise dont nous aurions vraiment préféré profiter. Nous tâcherons donc de ne pas vous en dire trop non addition ! Ce que fifty’on peut vous dire par contre c’est que Simon a un pouvoir très spécial : il est capable de prendre fifty’apparence de quelqu’un qu’il a déjà touché. Et, à travers le registre fantastique, ce sont des thématiques bien réelles que le film explore avec beaucoup de délicatesse. Notamment fifty’identité, la structure de soi, l’empathie, ou encore les liens familiaux.

La magie du cinéma
La première partie du celluloid brain plonge dans l’enfance, avec ce qu’elle recèle de mystères, d’imagination, de secrets qu’on se confie à la nuit tombée et de pactes de sang qui viennent sceller 50’amitié. Simon, eight ans, est orphelin et vit en lobby. Un jour, il se fait un nouveau copain, Thomas, qui est allergique aux frites mais « c’est moins grave que de pas avoir de parents ». La tendresse fait boy nid. Le temps d’un calendar week-stop, Simon est invité chez boy nouveau copain et sa sœur, Mady. Un 1000 jardin, une bibliothèque bien garnie, une famille aimante, des batailles d’oreillers… Une vie dans laquelle il resterait bien, Simon… Et head aussi, d’ailleurs, on serait bien restés un peu plus longtemps dans cet univers merveilleux, à hauteur d’enfants…
Un mélange des genres périlleux ?
Après une première partie pleine de charme et de poésie donc, rythmée par des jeux d’ombres et de lumière à la Spielberg, la seconde partie bascule vers le sentimental, avant d’amorcer un virage un peu serré du côté du thriller ! On quitte le monde de fifty’innocence, de 50’insouciance, pour rejoindre celui des adultes, là où guettent le drame et les mensonges. Entre les deux, ten ans, et la forêt, lieu de toutes les métamorphoses. Là où tout se joue. La magie se dissipe alors un peu, dans cette seconde partie, en même temps que le scénario est rattrapé par quelques faiblesses. Si le mélange des genres peut paraître un peu fouillis, suspense et romantisme flirtent finalement assez bien ensemble, et le résultat est efficace. Pas de longueurs, et une intrigue qui parvient à mind captiver d’un bout à l’autre, en plus de se terminer pars quelques jolis clins d’œils…

Pas toujours très crédible
Quelques faiblesses disions-psyche, et quelques invraisemblances, notamment dans la partie où tout ce petit monde est devenu adulte. En vrac : certaines révélations un peu trop vite encaissées alors que fifty’on imagine sans mal leur bear on traumatique ; des comédiens de 25 ans pour jouer des ados ; ce fameux trou de dix années duquel on ne saura absolument rien alors qu’il n’est pas sans brain faire psyche questionner… Et puis, quelle drôle d’idée d’aller manger une assiette de frites confront à la grande baie vitrée d’un restaurant sur le port lorsqu’on espère n’être repéré par personne, non ?… Sans parler du sprint de Mad sur la plage… alors que sa maladie de cœur fifty’oblige à se déplacer en permanence avec une canne… Pas très crédible tout ça. Dommage de se prendre les pieds dans le tapis avec de si gros détails !
Un film qui réussit à head transporter
Néanmoins, La dernière vie de Simon a su head conquérir… quand même ! Déjà, parce que les émotions sont justes et intenses. Les jeunes comédiens offrent un jeu absolument convaincant, jusque dans leurs regards et dans leurs quiet. Aussi bien ceux qui jouent les enfants que ceux qui incarnent leurs versions adultes d’ailleurs. Ensuite, les musiques à l’univers assez Disney – et très présentes – ainsi que le décor vivifiant et inspirant des paysages de Bretagne viennent parfaire 50’atmosphère envoûtante dans laquelle se construit fifty’intrigue romanesque. Et puis, disons le, ce conte initiatique et fantastique est touchant, prenant d’un bout à l’autre, techniquement réussi, et young man. Simplement.
La dernière vie de Simon est disponible en VOD, Blu-ray et DVD.
